Après tout bon débat, on essaie de trouver un gagnant :
- Sondage sur le Débat des Chefs, sur Go-Québec.com
Question du jour sur Cyberpresse (en bas de page).
sondage terminé : voir les résultats de la question du 13 mars
Après tout bon débat, on essaie de trouver un gagnant :
Ce n’est pas parce que le débat est télédiffusé qu’il fait se priver d’interagir. Voici une liste de sites et de blogues où il sera possible de suivre le débat, de commenter, de lire ou de voir les réactions d’autres électeurs banchés. Suivez bien sûr avec vos agrégateurs, je vous ai ajouté les fils rss/xml.
La liste est partielle. Elle changera probablement tout au long de la soirée. Si vous connaissez des blogues qui commentent en direct le débat, n’hésitez pas à me les faire suivre (via les commentaires ou par courriel).
Qu’est-ce que les blogues :
C’est quelqu’un qui cherche l’authenticité de ses opinions sans se confronter aux autres. Ils disent : Venez me voir chez moi mais je n’entre pas dans l’espace public
(Ici, un autre point de vue sur le « personnage Bock-Côté »)
Selon Dennis Trudeau:
Les blogues sont un peu les radios-cb du 21e siècle.
Comme quoi, que l’on soit expérimenté ou jeune-arrogant, on peut être également réducteur sur les choses qu’on ne connait pas. Tiré de Bazzo.tv (La Bande des 4), édition du 8 mars 2007.
J’ai manqué TLMP et Mario Dumont. Direction YouTube….
Voici donc le tableau noir de Mario :
Pour l’ensemble de l’entrevue, y compris le face à face avec Chantal Hébert, consultez ici pendant que c’est toujours disponible.
Et en reprise juste pour Michel, Parizeau et Boisclair vu par Laflaque sur DailyMotion.
http://www.dailymotion.com/video/x1fa05_laflaque-parizeau-feed-boisclair
Dernièrement, dans mon analyse de certaines tâches simples (don, consultation, recherche), je constatais que les principes, pour rendre l’utilisation d’un site efficace, étaient quelque peu malmenés par nos partis politiques, tout au moins en campagne électorale. Et concernant les blogues, bien que le terme fasse maintenant partie du vocabulaire de la campagne, je remarquais que les partis politiques restaient timides dans la consultation de la blogosphère québécoise, et encore plus timides à avouer la lire. Tout particulièrement, chez les libéraux et les adéquistes.
Dans cette analyse des stratégies et usages du Web utilisés par les partis politiques, abordons un autre sujet: quel suivi les partis font-ils des courriels reçus de leurs partisans pendant la campagne?
Si j’avais un site personnel pour me faire de nouveaux amis et que je ne répondais pas aux messages venant de mon bouton Contactez-moi, vous me diriez : « T’es sûr de vouloir rencontrer du monde ? », et vous auriez raison.
Si j’avais un commerce en ligne pour vendre mes produits et que je ne répondais pas aux messages venant de mon bouton Contactez-nous, s’informant de mes produits, vous me diriez : « T’es sûr de vouloir vendre tes produits ? », et vous auriez raison.
Si je gérais le site d’un parti politique et que je ne répondais pas aux messages venant de mon bouton Contactez-nous … Et pourtant !
Contactez-nous qu’ils disent… mais ils ne disent pas qu’ils vous répondront
Encore une fois, j’ai donc voulu mesurer si nos partis faisaient leur travail de base (je vous en parlais déjà un peu, voilà quelques jours). J’ai contacté en début de semaine les 5 partis politiques. Je leur ai envoyé à chacun un courrier électronique (sous l’identité d’un partisan) demandant des informations sur une éventuelle assemblée de circonscription. Demande banale, comme chaque parti doit en recevoir régulièrement. Un seul parti politique m’a répondu rapidement avec des informations très correctes pour l’occasion: les coordonnées de la circonscription qu’il me recommandait de contacter directement. C’est le Parti Québécois.
Très déçu par la performance de nos partis, et pour m’assurer que je n’avais pas commis d’erreur, 36 heures après le premier envoi j’ai donc réécrit à ceux-ci pour reformuler ma demande en indiquant clairement qu’il s’agissait d’une 2e demande. Les heures passent et passent. Après 24 heures de ce deuxième envoi, enfin un deuxième parti se manifeste : Le Parti Vert du Québec.
À l’évidence, les courriers envoyés à certains partis ne sont pas gérés. Pourquoi ? Je ne sais pas. Ils doivent avoir une tonne de bonnes raisons. Je laisse à d’autres le soin de comprendre pourquoi. N’empêche qu’il m’apparaît inadmissible que des partis aspirant au pouvoir, comme le Parti Libéral et l’Action démocratique du Québec, n’aient aucune équipe dédiée pour répondre aux courriels. On trouverait inconcevable de laisser sonner le téléphone de la permanence sans répondre; c’est pareil pour les courriels, messieurs-dames des partis. C’est pareil !
Ces partis veulent être élus, veulent conduire la destinée du gouvernement, être le maître-d’oeuvre du e-gouvernement, mais ne sont même pas capable de répondre aux demandes de leurs partisans reçues par courriel. Hum ! Que doit-on en déduire ? On ne s’étonnera pas que ces partis politiques, une fois au pouvoir, pensent que c’est comme ceci qu’ils réussiront à dialoguer avec la population.
Pensez-vous qu’il ne s’agisse là que d’un concours de circonstances ? Moi, je ne crois pas. La semaine précédant ce test, j’ai écrit sous mon nom au PLQ, à l’ADQ et au PQ (via formulaire ou courriel affichés sur leur site) pour joindre les responsables Web. Là encore, seul le PQ m’a répondu rapidement. L’ADQ a pu être rejoint via des contacts personnels. Quant au PLQ, j’attends toujours qu’il se passe quelque chose. On dirait que le courrier n’a pas été branché à leur quartier général.
En conclusion d’un débat à l’Association de Marketing de Montréal dernièrement (voir sur les blogues de Michel Leblanc, Sandrine Prom Tep et Muriel Ide), Jacques Nantel nous rappelait ce conseil : toute entreprise qui veut réussir sur Internet doit garder le contact avec ses consommateurs, doit rétroagir avec eux. Que devons-nous déduire alors de la compréhension du Web qu’ont les responsables du PLQ et de l’ADQ ?
P.-S. : N’ayant pas encore eu un contact avec qui que ce soit du PLQ, si une personne responsable du parti voulait me contacter par courriel, ce serait apprécié. Mon adresse est facile à trouver… et je vous répondrai sans faute.
Lire la série:
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Une entrevue de Scott McKay, chef de Parti Vert du Québec par Christine Charette, Radio-canada, mardi le 6 mars.
Faute de voir le débat des chefs s’ouvrir aux partis qui ne sont pas présents à l’Assemblée nationale, ne manquons pas l’occasion d’écouter les autres partis lorsqu’ils prennent la parole.
Scott McKay, le Parti Vert du Québec.
Parce que les partis politiques ont ajouté des sections qu’ils nomment blogues, parce qu’il y a des vidéos, parce que qu’il y a Youtube, parce qu’il y a des cms open source, parce qu’il y a la guerre des AdWords, certains se demandent si nous assistons à l’arrivée du Web 2.0 dans nos moeurs politiques. Bon! les amis, on respire par le nez… et faudra respirer longtemps!
Voilà 10 ans, lorsque le commerce électronique tentait d’établir sa crédibilité, pour évaluer quelle confiance on devait accorder à une entreprise qui offrait des services en ligne (ou vendait ses produits en ligne), on réalisait un test tout simple mais très révélateur : on envoyait un petit courriel simple puis on analysait délai et nature de la réponse. La qualité du service à la clientèle électronique étant le premier indicateur de l’importance réelle de l’internaute dans la stratégie commerciale de l’entreprise.
Aujourd’hui, toute entreprise qui veut réussir sur Internet sait qu’elle doit avoir un service à la clientèle en ligne impeccable. Et même plus, les entreprises aujourd’hui cherchent à diriger le maximum de clients vers le web plutôt que le téléphone ou le contact personnel (question d’économie et de rapidité).
Alors d’après vous ?
Que se passerait-il si on soumettait nos 5 partis politiques à ce petit test tout ce qu’il y a de plus Web 1.0 ?
Cette semaine, j‘ai envoyé à chacun des partis un courriel (le même), en me disant – comme voilà dix ans – que la réponse à ce courriel m’indiquerait quelle est la statégie de communication des partis politiques envers leur partisan, au-delà des contenus dirigés visibles sur les sites. Après 24h., un seul parti a répondu. Un seul, oui! Grosse déception!
Je n’en dis pas plus pour l’instant. Donnons encore quelques heures aux partis, qu’en dites-vous? On s’en reparle donc bientôt.
Et pour ceux qui espéraient voir une ère nouvelle dans les communications électorales, faudra être un peu plus patient. L’e-militance n’est pas encore arrivée au Québec.
Si j’étais marchand et que je faisais paraître une publicité dans un journal, me serait-il possible de me présenter sous le nom de mon concurrent tout en donnant (correctement) mon téléphone, mon adresse et mes produits? Non! Et si je le faisais, que se passerait-il? Ça ne serait pas long, je recevrais la visite de l’Office de la protection au consommateur, avec raison. C’est de la fausse représentation, et il y a des lois pour éviter ces pratiques.
Voilà maintenant que les partis politiques se mettent à faire acheter les noms de parti de leurs adversaires pour attirer l’électorat. À mon sens, il s’agit là d’une pratique reposant sur un sens éthique douteux. On parle du problème à plusieurs endroits depuis quelques jours (ici. ici. ici, etc.)
Pour ceux qui n’auraient jamais vu de quoi il est question. Voilà une illustration.
Cet usage dans les élections au Québec est nouveau. Il y a probablement un vide juridique qui conduit même certain analyste-blogueur (Michel Leblanc) à cautionner, à demi-mot, cette pratique:
Selon moi c’est « borderline », ce n’est probablement pas éthique, mais à ce que je sache, les noms des partis n’ont pas de « trademark » qui les aurait protégés contre ce type d’usurpation et pour les noms des candidats qui sont des personnalités du domaine public, je ne crois pas que cela soit illégal non plus. Quoique je ne sois pas avocat et que ceci n’est qu’une opinion personnelle…
(Commentaire laissé sur un billet d’Éric Baillargeon)
Si le législateur interdit l’usage de la fausse représentation dans vie commerciale, pourquoi alors les partis politiques – qui aspirent devenir (ou rester) législateur – pourraient-ils le faire pendant les élections ?
Le Directeur Général des Élections devrait y voir, et rapidement. Eric Baillargeon lui a même déjà préparé le terrain pour sa réflexion.
L’ADQ vient de mettre en ligne la version anglaise de son site de campagne, ce week-end, discrètement. Tout aussi discrètement le Parti Libéral du Québec avait ouvert sa section English tout dernièrement. En fait, un seul parti avait une version anglaise complète dès le début de la campagne (ou plutôt la mise en ligne du site de campagne) fut le Parti Vert. Québec solidaire n’offre que du contenu anglais contextuel alors que le Parti québécois semble avoir perdu complètement son anglais.
Certes, la campagne est loin d’être terminée. D’autres versions, sections ou documents s’adressant à la communauté anglophone risquent d’apparaître ici et là. Nous verrons bien d’ici le … 26 mars. Mais aujourd’hui, on doit se rendre à l’évidence; les élections au Québec, sur le Web, ça ne se passe qu’en français.
La maigreur, l’absence ou la tardiveté des versions anglaises soulèvent 2 questions, l’une politique, l’autre technique :
D’abord les faits :
PLQ
Jusqu’à tout dernièrement, le Parti Libéral n’offrait que son programme en anglais, en version téléchargeable (pdf). Il s’est depuis fabriqué une petite section, appelée English, qui regroupe ce programme téléchargeable, la liste des candidats (à noter que les bio sont bilingues – donc même bio en français comme en anglais), et l’accès au blogue (nommé dans le menu The Blogs) – qui est incidemment la section Blogues française. Raison: les blogues du Parti Libéral comprennent quelques interventions anglaises.
On comprendra donc qu‘il ne s’agit pas d’une vrai section anglaise, encore moins d’une version anglaise. Tout juste un accommodement raisonnable pour satisfaire la dent creuse d’une partie importante de l’électorat libéral.
PQ
Trouver un document anglais dans le site du Parti Québécois, relève de l’exploit. Pourtant en début de campagne, il me semble bien avoir vu une version anglaise du programme (j’ai peut-être rêvé). Il n’y a ni version, ni section, ni trace de documents en anglais. Possiblement, des interventions dans les blogues ou quelques documents quelque part, mais je n’ai pas trouvé.
Manifestement, le Parti Québécois sait qu’il n’a rien à gagner de ce côté de l’électorat, du moins pas assez pour justifier le temps et l’énergie qu’il serait nécessaire.
ADQ
Depuis hier, une toute nouvelle version vient d’apparaître. L’ADQ est le seul parti des 3 grands partis qui se risquent à faire une version complète anglaise. Ils vont apprendre à la dure qu’il est d’être difficile de développer et maintenir deux versions d’un même site aussi vivant qu’un site de campagne électoral. Page à moitié traduite (même dans les formulaires d’adhésion où les champs de renseignements personnels à remplir sont indiqués en français), entêtes qui ne sont pas de la bonne langue, manque de contenu de langue anglaise, page anglaise qui n’encadre que du contenu francophone, bannières et autres auto-promotions du parti qui sont seulement en français même dans la version anglaise, processus qui change de langue en cours d’exécution, etc.
La mise en ligne d’une version anglaise est une entreprise difficile. Dans l’état actuel des choses (4 mars 14h00), l’ADQ ne semble pas être en mesure de livrer une version cohérente. Ce n’est assurément pas avec cette tentative qu’il arrachera ne serait-ce qu’un vote anglophone aux libéraux.
Québec solidaire
Ici non plus ni version, ni section anglaise. Par contre, dans certains régions et circonscriptions (à forte concentration anglophone), on peut trouver des textes rédigés en anglais. Le programme n’est pas disponible en anglais cependant.
Là aussi, la communauté anglophone n’est pas desservie. Bien que je puisse très bien comprendre la décision de ne pas offrir de version anglaise complète, je suis un peu surpris que Québec solidaire n’offre aucun outil à cette gauche anglophone du Québec pourtant très réelle qui devrait se reconnaître dans ce parti.
PVQ
Dès la mise en ligne de son site de campagne, le 26 février, le PVQ s’est démarqué des autres partis par la présence d’une double navigation française / anglaise.
La majorité des interventions et contributions sont francophones, mais le potentiel est présent. Navigation dans les deux langues, forum et blogues bilingues, résumé de la plate-forme en anglais, etc.
Il y a de la part du PVQ, un véritable effort de rejoindre les anglophones autant que comme les francophones. Et aux mauvaises langues qui diront que le PVQ est avantagé là-dessus par la maigreur de son contenu et la simplicité de son arborescence, je répondrai: vous avez raison. Le PVQ est de tous les partis, celui qui a le moins développé son site comme « outil de compagne » – contrairement à ce qu’il nous avait déjà habitué au préalable, comme outil de mobilisation et même outil de travail pour la réflexion politique (wiki de programme, l’an dernier). Avoir une version bilingue dans ces conditions est plus facile. Mais néanmoins ne va pas sans erreur (malheureusement nombreuses).
De tous les partis, c’est probablement celui dont on pardonne le plus les erreurs, par le manque évident de moyens et de ressources.
A) La communauté anglophone n’est pas un enjeu politique, dans la stratégie en ligne, pour cette élection.
Il n’y a aucune surprise à ce niveau. À voir le peu d’effort fourni par les partis politiques pour faire des versions anglophones, il est clair qu’aucun parti – à l’exception du PVQ – n’a voulu investir pour rejoindre adéquatement cette portion de l’électorat. Les anglophones seront rejoints ailleurs que par le Web, ou sont déjà considérés acquis (par les Libéraux). Développer un site bilingue est couteux et complexe; pour les partis le jeu n’en valait pas la chandelle.
Je suis néanmoins perplexe qu’aucun parti (sauf le PVQ – je crois que je me répète) n’ait été prêt au lancement des élections avec une offre cohérente pour les anglophones (même pas les libéraux). Pour les libéraux et les adéquistes, c’est bien après le lancement de leur site de campagne qu’on voit s’ajouter ce contenu. L’offre est non seulement maigre, mais sent l’improvisation.
B) Le niveau de difficulté élevé pour développer des sites bilingues
Ce n’est pas moi qui critiquerais les partis politiques de ne pas offrir de site bilingue. On sous-évalue trop souvent la complexité du travail à accomplir (je suis très bien placé pour le savoir). Pour un site corporatif simple, cela ne représente souvent qu’un dédoublement de structure. Pour un site de campagne cela en va tout autrement.
Les contenus sont vivants, ils changent très fréquemment. Gérer un tel site bilingue demande alors d’avoir deux stratégies de contenus adaptés aux clientèles (et objectifs) avec les moyens de produire les contenus nécessaires. L’ADQ fait actuellement l’illustration qu’on peut facilement s’empêtrer dans une telle démarche, si cela n’a pas été longuement planifié, tant au niveau tant au niveau de l’arborescence que de la stratégie éditoriale.
Étant donné que manifestement aucun parti n’avait à gagner d’une version campagne complète de leur site, une réflexion préalable aurait dû tout au moins les conduire à planifier une version peut-être partielle, mais au moins cohérente. Ce qu’aucun ne semble proposer, même si dans leur site régulier (hors campagne), chacun des partis a une stratégie pour rejoindre la communauté anglophone.
De tous les partis, le Parti Libéral est probablement celui qui montre le plus d’incohérence. Sa proposition est pure improvisation. Comme si, une fois leur site de campagne lancé, le PLQ avait tout à coup réalisé avoir oublié une partie de son électorat, et tente désespérément de bricoler un semblant de section anglaise. C’est de leur part un gros oubli, d’autant que leur site régulier comprend une version anglaise complète. Le site en général laisse paraître un manque de planification; ce qu’il propose pour les anglophones frisent la catastrophe.
Pour le PQ, il est probable que l’absence complet de contenu anglophone relève d’un choix politique. Cette démarche est en continuité avec ce qu’il faisait sur son site régulier, c’est-à-dire pas de version bilingue mais qu’une section réduite pour les autres langues. Donc qu’il n’y ait rien en anglais actuellement a une certaine cohérence avec la stratégie éditoriale du parti, même si, selon moi, l’inaccessibilité de la plate-forme reste très discutable, dans le cadre d’une campagne.
Je le répète, tous les partis ont beaucoup évolué depuis la dernière campagne électorale dans l’utilisation du Web (je ne dis pas par contre que tout est parfait, loin de là, entendons-nous ). Cette année, le Web est une affaire plus sérieuse; on y a investi temps et ressources; manifestement plus qu’aux dernières élections. Mais pour ce qui est de gérer l’aspect multilingue, ce sera pour une prochaine campagne.
Mise à jour: 08 mars
Depuis la parution de mon billet, Québec solidaire a ajouté à sa page d’accueil un nouvelle zone intitulée Nos engagements qui présente les versions française et anglaise de leurs engagements. Belle initiative!
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