Le retour du Boomerang

Beaucoup de bruit cette semaine à la suite des Prix Boomerang.

Acte 1.
Front de boeuf, Patrick Tanguay.
Réaction à la flashturbation et la boomeragnite, Sylvain Carle.
Les Boomerangs ne font pas l’unanimité, Michel Leblanc.

Acte 2.
Pourquoi snober la soirée de reconnaissance de l’industrie qui nous fait vivre?, Guillaume Brunet.

Acte 3.
Du NéoConcours 2.0…, CFD.
Les néo-Boomerangs, le concours “des vrais”, Michel Leblanc.
Néo Concours 2.0, Sylvain Carle.

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Ce que j’en retiens, c’est que ce n’est pas tout le monde qui se reconnaît dans les prix Boomerang. Infopresse parle à une partie de l’industrie techno, pas à l’ensemble. Tout comme les OCTAS de la F.I.Q. rejoindront et satisferont une autre partie de l’industrie (malgré un système d’évaluation nettement plus sophistiqué). Alors vivement de nouveaux prix pour couvrir mieux la diversité de notre industrie, vivement de nouvelles initiatives pour mieux illustrer son essor.

Quelques « réseaux sociaux » au Québec: la suite

Intéressantes, les réactions suite à mon billet sur « Quelques réseaux sociaux au Québec » publié voilà quelques jours. À lire les courriels reçus, je ne suis pas le seul à croire qu’on passe tellement de temps (blogues et médias) à observer ce que font les Facebook, LinkedIn, MySpace de ce monde qu’on en finit par oublier ce qui se fait plus près de nous. Non, ce n’est pas le désert, il y a un foisonnement de passions et d’idées dans notre industrie techno locale. Loin de là! Mais encore faut-il regarder au-delà des gros arbres qui nous bouchent la vue. Les courriels reçus me faisaient repenser à un autre billet, vieux d’un an celui-là toujours d’actualité: Toc-toc-toc, il y a quelqu’un ? (sur l’obsession de nos médias face aux grandes marques technologiques, au détriment de l’innovation… et bien sûr de ce qui se fait dans l’industrie locale).

Dans ce billet, je poursuis le petit travail de recensement des communautés virtuelles ou réseaux sociaux développés par des équipes locales. D’autres billets suivront (plus on cherche, plus on en trouve), dont un consacré exclusivement aux communautés de partage de vidéos et un autre sur les communautés de dating.

1. Austin Hill, qui fut partenaire dans les aventures TotalNet et Zero-Knowledge, s’apprêterait à lancer au cours de 2008, une « nouveauté type de communauté Web » : akoha. Pour reprendre leur mot, le projet  » changera la manière dont les gens considèrent les réseaux sociaux et les jeux en ligne. Nous travaillons à faire une application web incroyable qui pourra avoir un impact positif sur notre monde. » Donc très peu d’information jusqu’à présent. Sinon quelques bribes qui transpirent à l’occasion du blogue personnel d’Austin Hill: Billionswithzeroknowledge.

2. ILovetoPlay.com : est une communauté axée sur le sport; « un point de rencontre où participants sportifs et associations/clubs peuvent se trouver et communiquer entre eux« . Joueurs, entraîneurs, équipes, amateurs, écoles, bref tous les intervenants dans le onde du sport peuvent s’y rencontrer pour échanger profil, informations (matchs, tournois, ligues), chercher partenaires de sports, former des équipes, annoncer ses activités et faire ses demandes particulières.

Le site est ouvert depuis janvier 2007. Il est disponible en français et anglais. Visée internationale.

3. Kakiloc est un service Web qui permettra de localiser les membres de son réseau sur Google Maps (et de suivre ceux-ci dans certain de leur déplacement) et pour développer ce réseau selon certains critères de localisation (ex. de nouveaux contacts en fonction de lieux visités). Parmi les fonctionnalités, alertes, sms, courriel, etc..

Le site est en mode Beta privé et devrait être ouvert au public début 2008. Il est développé en anglais pour le marché international. Aucune version française n’est prévue pour l’instant.

4. MyCarpoolStation.com propose une communauté de partage de trajets automobiles. Le service est axé sur les trajets quotidiens et récurrents, ce qui est différent de l’offre d’AmigoExpress qui toujours plus autour des déplacements occasionnels. Le service cherche à jumeler les personnes d’un même lieu de travail ou d’une même institution scolaire afin de favoriser le covoiturage. Plusieurs fonctionnalités (horaire, météo, calculatrice de CO2, messagerie, etc.) appuient le service principal.

Site en anglais et Français. Disponible pour le Canada et les États-Unis.

5. The bigger your network is, the higher you and your profile are listed and visible. Voilà qui résume très bien ce réseau. Vous êtes invités à construire votre profil en y ajoutant vos vidéos Youtube… et ajouter vos contacts. Les résultats de recherche et les listing de membres sont toujours affichés en fonction du poids de votre réseau, par rapport aux autres. Plus votre réseau est grand, plus vous êtes visible; plus petit est votre réseau plus vous avez intérêt à le faire croître pour être visible.

Le service est uniquement en anglais et international.

6. Chacun a des services et des produist financiers à magasiner, un jour ou l’autre. Nous avons tous nos fournisseurs, nous avons tous nos expériences, et bien des choses à partager. Smarthippo.com se définit ainsi : the first ever web site that allows individuals to use the power of a community to save money when shopping for rates on financial products and services. Le version beta a été lancé en septembre dans le cadre du TechCrunch40. On peu consulter un billet détaillé sur MontréalTechWatch.

Le site est disponible en anglais uniquement. Son marché est nord-américain.

7. Weblo.com est probablement de tous les communautés présentés aujourd’hui, la plus connue. Le site a fait la manchette à quelques occasions. Le modèle d’affaires est à mi-chemin entre le jeu et la spéculation. On peut acheter et revendre des États, des villes, des identités de célébrités, de noms de domaine; et bien sur les revendre… à profit. En argent tout ce qu’il y de plus réel.

Selon Rocky Mirza, un des fondateurs du site : « C’est un peu comme un jeu de Monopoly sur les stéroïdes. Chaque propriété, ville et état qui existent dans le monde réel est à vendre sur Weblo.com. Il s’agit de réseautage personnel incluant un aspect commercial, où les membres sont finalement payés pour leur popularité. Avant Weblo.com, seulement les fondateurs de sites Web et les actionnaires retiraient des profits. »

Le site est uniquement en Anglais et existe depuis un peu plus d’un an.

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Ps.: Plusieurs personnes m’ont suggéré des sites; notamment, Heri de MontréaTechWatch, dont plusieurs des sites présentés ici faisaient partis de ses suggestions. Je vous remercie tous. Et n’hésitez à m’en faire parvenir de nouveaux.

Quelques « réseaux sociaux » au Québec

Depuis plusieurs mois, le Québec est gagné par la frénésie autour des sites de réseautage social. On peut difficilement passer une journée sans que radio, télé ou journaux nous parlent de Facebook, Myspace, LinkedIn, Orkut, Xing, et autres sites de réseautage. Le resautage social a la cote des internautes et des médias. La valorisation financière ou le membership qu’atteingent certains de ces sites frappent l’imaginaire et monopolise l’attention.

Pourtant ces méga sites internationaux ne sont qu’une fraction des sites construits sur la base du réseautage ou de la mise en relation. Le Québec n’est pas en reste pour la production et la réalisation de sites basés sur les principes de réseau. Tantôt connu, tantôt inconnu; tantôt local, tantôt avec visée internationale; tantôt français, tantôt anglais ou bilingue. On trouve un peu toutes les configurations.

Prenons le temps d’en décrire quelques-uns. Je ne mets pas dans cette liste aucun site de rencontres, aucun site de vidéos, ni non plus les Espaces créés par les portails québécois. Ils sont nombreux et ont des contextes souvent particuliers. J’y reviendrai une autre fois. D’autres sites de réseau existe, j’y reviendrai aussi, sans soute sous peu. N’hésitez pas à me faire signaler ceux que je ne connais pas.

AgentSolo
1. Le hasard du classement alphabétique veut que je débute pas le site que j’affectionne le plus: AgentSolo que je développe avec mon équipe. Depuis le début de nos activités, la « communauté » est à la base du service; un réseau de professionnels construit pour favoriser la circulation et la négociation des offres de contrat et des services professionnels. Ces offres sont tout autant affichées publiquement que négociées privément; à titre d’exemple de repère, aujourd’hui 233 offres en négociation via la système d’affichage public ET un nombre indéterminé de contrats négociés directement entre professionnels, sans passer par le système publique (on estime qu’il y a un contrat privé pour un contrat public).

Ce qu’on trouve sur AgentSolo : des profils professionnels complets (ouverts vers l’extérieur et indexé par les moteurs de recherche), système de recommandation, historique d’attribution de contrat, alerte instantanée des nouvelles offres, algorithme de ranking (moteur de recherche) qui tient compte du niveau d’activité des membres, etc. Depuis bien avant l’engouement autour du contenu généré par les utilisateurs, les membres sont invités à rédiger des capsules de Conseils et veille; la base de connaissance ainsi produite compte des milliers de capsules. Chaque membre peut aussi profiter un fils XMLXML/RSS individuel pour la publicité de ses capsules ou, à l’inverse, peut ajouter le fils XML/RSS de son propre blogue pour inclure le contenu de son blogue dans son profil.

Le site était uniquement en français jusqu’à l’été dernier. Il est actuellement en version beta bilingue (fin du beta très bientôt). Ouvert uniquement pour le marché canadien.



AmigoExpress

2. Fondé en 2006, AmigoExpress fait du co-voiturage. Passager et chauffeur se rencontrent pour faire un bout de chemin plus ou moins long. Sur le site, on trouve le détail des départs (horaire, type de voiture, contribution, etc.) mais aussi le profil des chauffeurs qui contient les évaluations reçues des départs précédents.

Le président d’AmigoExpress fait parler de lui ces derniers temps avec son vidéo AmigoExpress à Tout le Monde en parle ?

Le site est en français uniquement et est complété de quelque points de service tout ce qu’il y a de plus physique à Montréal, Québec et Shrebrooke (avec Voyage campus)



bountyfishing

3. Les amateurs de pêche seront servis avec Bountyfishing. Fini les histoires de pêches que personne ne croit, participer plutôt aux compétitions de pêche qu’organise BountyFishing. Fondé en 2007, la mission du site se définit ainsi  » as the ultimate online angling tournament and sport fishing community. »

Chaque pêcheur-utilisateur créé son profil avec ses photos, ses histoires et ses commentaires. Chaque visiteur peut donc rencontrer des pêcheurs venant de tout le continent et découvrir leurs trucs, les meilleurs endroits où pêcher, des conseils sur les appâts, etc… Et pour animer cette communauté de pêcheurs, BountyFishing organise des tournois de pêche… virtuels.

La communauté vient des USA et le Canada, le site est exclusivement en anglais. Le site n’est pas très bavard sur ses origines québécoises, c’est seulement dans les conditions d’utilisation qu’il en est question.

Consulter la démo



inpowr
4. Inpowr veut nous accompagner dans notre développement personnel, dans la définition de nos objectifs de vie et dans l’évaluation de notre bien-être. Bien qu’il s’agisse d’une plate-forme axée sur une forme d’introspection personnelle, elle met à contribution la communauté afin de nous soutenir et nous encourager dans notre cheminement.

Le site est tout nouveau. Actuellement en phase beta, sans la possibilité de tester toutes les fonctionnalités. Il est original et novateur. L’équipe a présenté le projet au Web 2.0 Expo, en San Francisco en avril dernier.



monavis.ca
5. Si je voulais comparer monavis.ca, j’utiliserais Epinions, mais dédiés aux établissements commerciaux du Québec. On peut y donner son « avis » sur les restos, boutiques, hôtels, bar, magasins, etc. Des milliers d’établissements ont été commentés, de partout à travers le Québec, par les consommateurs de ces établissements. Parmi les fonctionnalités : commentaires, votes, géolocalisation (mashup Google). On peut aussi consulter les profils des différents membres et y consulter l’historique de contribution.

Le site existe depuis 2006.



Standoutjobs
6. Standoutjobs veut changer la manière de faire des sites d’emploi. We believe: The job market is broken; Online job sites don’t work; Hiring people should be an ongoing process; Hiring people is about having conversations not bureaucracy. Le site doit être lancé cet automne, il est actuellement en mode « preview ». Le vidéo et le blog sont au coeur du processus d’affichage et de publication; du moins, pour ce qu’on en voit aujourd’hui. La compagnie a fait l’objet d’un financement de 1,5 million, en juin dernier, de la part de Garage Technology Ventures Canada and Brudder Ventures. Le site est en anglais seulement et vise le marché américain (international).



Unik
7. Unik veut vous aider à gérer vos carnets d’adresses. Changer de travail, de courriel, de numéro de téléphone, implique invariablement une tournée de ses contacts, amis, famille pour les aviser des nouvelles coordonnées. Unyk se charge de ce volet, il vous permet à la fois d’alerter vos contacts des variations de vos profils, que ceux-ci soit membre ou non du service.

Plus de 6 000 000 de profils ont été créés depuis le lancement de Unik. Le site se décline en français, anglais, espagnol, allemand, italien, portugais.



waka
8. waka
WAKA se spécialise en immobilier. Il se différencie des sites traditionnels de ce secteur de 2 façons: d’une part en regroupant les informations provenant d’une dizaines de sites d’immobilier, d’autre part en ajoutant la possibilité « aux différents acheteurs, professionnels de l’immobilier et propriétaires de discuter entre eux et d’ajouter l’information qui rend une maison ou une propriété unique et qui ne se trouve pas nécessairement dans une annonce« . Une fois identifiée, un membre pourra commenter, poser une question ou répondre, sur l’une au l’autre des propriétés affichées.

Le site est en français, se limite au territoire du Québec et en présenté sous la bannière Branchez-vous.


Un dollar, c’est un dollar!

Voilà c’est fait. Le dollar CAD et le dollar US ont le même poids.

Les analyses et les commentaires se multiplent déjà sur le Web . On en parle déjà sur les blogues spécialisés:

* Gerard Filion, Les effets de la parité
* René Vézina, Parité, sourires et soupirs

Entrevues :

1. Sur RDI
* avec Martin Lefebvre, économiste au Mouvement Desjardins

2. Sur Canal Argent :

* avec François Barrière, vice-président, Valeur Mobilière Laurentienne, qui estime qu’il faut être content de cette parité mais que plusieurs entreprises devront s’adapter.

* avec Carlos Leitao, économiste en chef chez Valeurs mobilières Banque Laurentienne.

* avec Pascal Gauthier économiste à la Banque TD, qui commente une étude sur le pouvoir d’achat du dollar canadien.

Desjardins ou Paypal ?

Voici un petite note pour les autres web entrepreneurs qui veulent intégrer une solution de paiement électronique ou même pour les journalistes qui se questionnent sur la perception des internautes sur les différentes solutions de paiement proposées.

Depuis le début de nos activités (chez AgentSolo.com), nous utilisons la solution de paiement électronique Desjardins. Nous sommes satisfait du service. Cela peut sur certains points mineurs manquer un peu de flexibilité et d’innovation, mais pour ce qui est du cœur du service offert (accessibilité, vitesse des transaction, sécurité et -ce qui n’est pas négligeable – transfert des fonds vers notre compte), vraiment aucun problème majeur. Vraiment rien depuis le début qui nous aurait fait regretter notre choix.

Mais avec le développement de notre version anglaise et notre intention de franchir l’Outaouais pour aller à la découverte du « Rest of Canada », nous avons ajouté Paypal comme solution de paiement. Cette solution est offerte comme option supplémentaire aux clients. Nos clients ont donc le choix entre payer Desjardins (1ere option) ou Paypal (2e option). Aucune des solutions n’est pré-sélectionnée, le client doit effectuer son propre choix.

Nous avons commencé à offrir Paypal voilà environ trois semaines. Depuis, près de 40 % des transactions passent par Paypal. Ce qui nous a énormément surpris. D’autant que nous n’avons pas encore débuté la mise en marché de notre version anglaise (encore quelque fine tuning sur notre beta avant la grande offensive). Ce pourcentage a donc été obtenu exclusivement auprès de notre clientèle régulière, c’est-à-dire francophone du Québec.

Je savais que Paypal avait réussi à se construire une image forte et crédible, mais je n’aurais pas cru que dans une situation de choix (Desjardins contre Paypal), la proportion en faveur de Paypal aurait été si forte.

D’autres ont vécu des expériences comparables ?

Et si la tendance se maintient…

Réchauffement prévu cet automne dans le monde de l’information sur Internet au Québec. Trois grands réseaux d’information se disputent les internautes depuis plusieurs années. Canoe.ca (Québecor Média), Radio-Canada.ca (SRC), Cyberpresse.ca (Gesca). Selon Alexa, on assiste depuis les dernières années a un resserrement significatif dans la popularité de ces trois sites.

Ce tableau montre comment Radio-Canada.ca et Cyberpresse.ca seraient déjà quasi nez-à-nez dans la consultation de leur site par les internautes. Tandis que Canoe.ca tendrait à les rejoindre, d’ici très peu de temps. En effet, Canoe qui profitait d’une très large avance sur Radio-Canada et Cyberpresse, verrait cet écart se réduire graduellement. Si la tendance, les 3 pourraient se rejoindre au même niveau dès cette année.

Alexa - sites d'information

Bien sûr, il faut interpréter les données d’Alexa avec beaucoup de précaution. Il y a moulte biais. Et il faut se garder de faire des interprétations mécaniques et définitives. Mais ici, on peut postuler que ces trois sites étant déployés dans le même marché (Canada francophone) subissent exactement les même biais. Donc, ma comparaison n’est pas vaine… loin de là. Pour pousser plus loin l’analyse, un tableau comparatif à partir des données annuelles de Comscore MediaMetrix serait très intéressant (ll faudrait probablement inviter Yannick Manouri à vérifier l’hypothèse).

Il faut aussi faire très attention de ne voir dans ce tableau ce qui n’y est pas. L’évolution négative qu’on y voit ne représente pas nécessairement une diminution dans l’achalandage de ces sites. On ne doit y voir que l’évolution de leur position respective dans l’ensemble des sites web mesurés par Alexa.

Et les partis ?

Les élections au Québec terminées depuis maintenant quelques mois, l’été qui cède doucement sa place à l’automne, les sondages qui nous rappellent que M. Charest en a probablement pour peu à la tête du Québec, s’il n’en tenait qu’aux électeurs, des partielles à l’horizon… Il est temps de recommencer à parler politique.

Je vous livre en vrac quelques observations de mon petit tour des 3 grands partis politiques (du Québec)

  • Le blogue du Parti québécois a repris du service depuis quelques jours. Le temps des partielles ? Toujours La blogueuse du PQ au clavier ?
  • Le Parti Québécois a réussi a redonné une vie à leur site qui a été longtemps à l’abandon au lendemain des élections
  • Le Parti Libéral a complètement abandonné l’idée de blogue. Ce qu’ils appelaient blogue pendant la campagne électorale a disparu. Rien offrant la parole aux militants pour le remplacer. L’expérience fut vraiment brève. Je serais curieux de savoir ce qu’ils ont retenu de celle-ci. Mon intuition : que les blogues, c’est important durant les élections pour participer au buzz …
  • Le Parti Libéral garde des dernières élections, l’utilisation des documents vidéos.
  • Comme durant les dernières élections, l’ADQ propose un site à deux faces: la face visible résolument minimaliste, le stricte nécessaire rien de plus sans fioriture; la face cachée réservée aux membres qui proposent l’une des meilleurs revues de presse et de blogues politiques disponibles au Québec. Ne manquez pas de vous abonner aux fils RSS de cette revue

En bref, c’est tranquille de ce côté.

Pétition pour la lutte aux algues bleues

J’ai déjà montré mon intérêt pour la question des algues bleues. Problème dont les médias ont fait les choux gras encore une fois cette année, qui est, somme toute mineur, parce qu’on pourrait le régler sinon rapidement, tout au moins efficacement.

Une pétition circule actuellement, pilotée par le Comité du basin versant de la rivière Gatineau.

Extrait du texte de la pétition.

Notre demande est simple : nous demandons au gouvernement, considérant l’actuelle situation des lacs et rivières québécois qui sont infestés ou en danger d’être prochainement envahis de cyanobactéries, de légiférer afin d’éliminer progressivement la concentration de phosphore dans les détergents pour lave-vaisselle et les détergents pour buanderie. Cette pétition vise donc une élimination du phosphore dans les produits de savon à vaisselle et de savons à lessive afin de réduire les apports de phosphore de provenance domestique dans nos lacs et rivières.

Suivez ce lien pour lire le texte complet de la pétition et la signer!