L’État accélère l’envoi des chèques parce que le gouvernement qui le gère veut être réélu (fin mars, le 26). C’est aussi simple que ça. Alors ai-je besoin de le dire ? Ok, je le dis : c’est clairement une tentative, disons-le poliment, de flatter une grande partie de l’électorat dans le sens du poil.
Le paiement de l’équité salariale était une dette d’honneur. C’est devenu un pot-de-vin. Bravo.
Patrick Lagacé, Le Québézuela
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